Quoi de mieux que d’ajouter une touche d’élégance et de caractère à votre voiture tout en lui assurant une meilleure protection ? Les rétroviseurs, bien que discrets, s’avèrent être le petit détail capable de faire basculer le look de votre véhicule d’ordinaire à remarquable. Les passionnés d’auto l’ont bien compris : le covering des rétroviseurs apporte cette originalité subtile, tout en vous garantissant une sérénité face aux rigueurs du quotidien. Prêt à vous démarquer sur la route et à allonger la jeunesse de votre véhicule ? Voyons ensemble comment transformer ces petits bijoux que sont vos rétros.
Le covering des rétroviseurs : un atout esthétique et protecteur
Les avantages du film covering pour rétroviseurs
Un covering installé sur vos rétroviseurs s’impose aujourd’hui comme une solution doublement astucieuse : raffinée et pragmatique. D’une part, il métamorphose l’allure de votre voiture sans modification durable — un changement visible en quelques minutes. D’autre part, avec le bon film, fini les mini-rayures, projections de gravillons ou ternissures dûes aux intempéries. En outre, pourquoi ne pas miser sur une personnalisation unique ? Le covering, pensez-y comme à un manteau chic autant qu’une armure discrète… deux en un, la promesse séduit de plus en plus d’automobilistes avertis.
Les tendances actuelles en matière de covering automobile
Si vous feuilletez les réseaux sociaux ou si vous arpentez les parkings de passionnés, vous êtes sûrement tombé amoureux(se) de rétros flambants neufs en look carbone, en couleurs flashy ou en chrome miroir. Les tendances oscillent entre sobriété raffinée et explosions de couleurs. Les tons mats s’invitent volontiers sur des carrosseries premium, tandis que le carbone 3D demeure un incontournable sportif. Quant au covering chrome, il se prête bien aux esprits plus audacieux. S’amuser sans heurter le bon goût, tel est l’équilibre du moment.
La protection de la coque contre les agressions extérieures
Les rétroviseurs sont constamment exposés : stationnement serré, gouttelettes acides, rayures de lavage, le tout combiné à une alternance de soleil et de pluie. Appliquer un film adapté, c’est se doter d’un bouclier supplémentaire qui retarde l’usure du temps. Gueule d’ange préservée, moins de mauvaises surprises : la coque de rétroviseur recouverte résiste mieux aux microrayures, baguettes ou coups de portières. Non seulement l’esthétique est sauvegardée, mais la revente future du véhicule bénéficie d’un sérieux argument.
Les questions réglementaires et l’entretien du film covering
Avant de dégainer votre carte bancaire pour un film au coloris détonnant, une vérification auprès du code de la route s’impose, surtout pour les coloris atypiques (fluos, miroirs, etc). Si la majorité des films sont conçus dans le respect de la législation, un excès de fantaisie pourrait attirer l’attention lors d’un contrôle routier. N’oubliez jamais : il s’agit d’un accessoire réversible, à condition de veiller à sa pose et à son entretien. Pour conserver son éclat, rien ne remplace un nettoyage doux, sans solvants agressifs. Quelques minutes d’attention chaque mois, et votre covering restera impeccable.
La préparation et le choix du film covering adapté
Les matériaux et finitions recommandés
Les fabricants rivalisent d’ingéniosité pour proposer des gammes de films aussi décoratifs que résistants. Le film carbone 3D séduit par son rendu texturé, très sportif. La version chromée attire immédiatement l’œil et se démarque par son éclat spectaculaire, tandis que le mat assure un supplément de discrétion chic. Les finitions colorées, quant à elles, relèvent une carrosserie trop uniforme. Bref, il existe de quoi relooker vos rétros au gré de vos humeurs ou de la saison, sans conséquences permanentes.
Les critères à prendre en compte pour sélectionner son film covering
Avant de valider l’achat de votre rouleau, considérez plusieurs critères : l’épaisseur, qui impactera la robustesse ; la facilité de pose, variable selon la qualité adhésive ; la résistance aux UV pour éviter la décoloration prématurée. Un bon film doit aussi garantir une découpe nette et une flexibilité, afin d’épouser les courbes sans bulles disgracieuses. Enfin, le prix reste un indicateur : un covering d’entrée de gamme tient moins longtemps, un investissement plus conséquent sera récompensé par la durabilité et le rendu visuel.
Comparatif des principaux types de films utilisés pour les rétroviseurs
Un tableau comparatif permet d’y voir clair, entre aspect, protection et budget. Vous hésitez encore ? Jetez donc un œil :
| Désignation | Aspect visuel | Protection | Prix moyen pour 2 rétroviseurs |
|---|---|---|---|
| Film carbone 3D | Effet texturé sport | Résistant aux rayures | 25 à 40 euros |
| Film chrome | Aspect brillant | Moyenne | 30 à 50 euros |
| Film mat | Look sobre | Bonne | 20 à 35 euros |
| Film coloré | Personnalisation | Variable | 15 à 30 euros |
Les étapes essentielles pour la pose réussie sur les rétroviseurs
Les outils et accessoires indispensables
Préparer soigneusement ses outils, c’est déjà mettre toutes les chances de son côté. Pour réussir la pose avec brio, il vous faudra : une raclette en feutre, un cutter bien affuté, un pistolet à air chaud et une microfibre propre. Autant d’alliés pour éliminer le risque de bulles ou de plis indésirables ! Un spray d’eau savonneuse s’avère également utile pour repositionner le film aisément.
Au garage, j’ai vu Thomas réussir la pose parfaite sur une Série 3. Concentré, il préparait ses outils et nettoyait chaque détail. Lorsqu’un pli menaçait, il reprenait calmement avec le pistolet à air chaud. En une heure, ses rétros arboraient un covering impeccable, sans la moindre bulle.
La préparation des surfaces et la dépose éventuelle de la coque
Avant toute manipulation, un nettoyage méticuleux de la coque s’impose. Liquide vaisselle, eau tiède, puis séchage scrupuleux pour chasser tout résidu. Parfois, la dépose de la coque du rétroviseur facilite la pose, surtout sur les modèles aux formes complexes. Cette étape supplémentaire rendra la découpe plus précise et évitera les tracas de derniers instants.
Le découpage, la pose et la finition du film covering
Vient le moment de vérité : appliquez d’abord le film en laissant un léger surplus sur les bords. À l’aide du pistolet à air chaud, chauffez doucement le film pour lui permettre d’épouser chaque courbe, chaque angle. Utilisez la raclette pour lisser et éliminer toute bulle d’air, puis terminez en coupant proprement les excédents. Patience et doigté sont les clés du succès ! Un ajustement final s’impose parfois, alors n’hésitez pas à ajuster jusqu’à obtenir un résultat digne des pros.
Les erreurs fréquentes et comment les éviter
Beaucoup se lancent tête baissée et regrettent d’avoir négligé certains pièges classiques : surface mal nettoyée, film trop tendu ou coupé à la va-vite. Un autre faux pas serait de brûler le film avec le pistolet à air chaud ou d’utiliser des outils métalliques qui griffent. Mieux vaut travailler tranquillement, vérifier chaque étape et garder à l’esprit ce conseil de professionnel :
« Un covering de qualité, c’est 90 % de préparation et 10 % d’application. »
Voilà de quoi méditer avant de démarrer !
Les coûts et les questions pratiques du covering de rétroviseur
Les tarifs moyens selon les solutions (DIY ou professionnel)
Que vous soyez bricoleur du dimanche ou amateur exigeant, le budget variera selon vos choix. Faire appel à un professionnel s’avère rassurant : rapidité, zéro prise de risque mais le tarif grimpe la plupart du temps entre 100 et 150 euros la paire. Un covering réalisé maison, en revanche, repousse le ticket d’entrée à 25-50 euros, un coup de main en plus et une pointe de fierté. À chacun sa méthode, l’important est d’obtenir un résultat à la hauteur de ses ambitions.
| Type d’installation | Durée estimée | Coût moyen | Degré de difficulté |
|---|---|---|---|
| Par un professionnel | 30-40 min/paire | 100 à 150 euros | Faible |
| Par un particulier | 60-90 min/paire | 25 à 50 euros | Modéré à élevé |
| Entretien courant | 10 min/mois | Produit entretien film | Très faible |
Les inconvénients et limites du covering sur cette zone
Certes, le covering redonne du pep’s à vos rétroviseurs et les protège, mais il reste quelques aléas : nécessité d’éviter les portiques de lavage haute pression, sensibilité accrue aux frottements et risques de décollement si la pose a été bâclée. L’exposition intense au soleil sur de longues périodes finit aussi par ternir les couleurs, même chez les meilleures marques. À méditer avant d’opter pour un style flamboyant sur une auto garée en extérieur quotidiennement !
Les retours d’expérience des automobilistes
Sur les forums spécialisés ou groupes Facebook, les retours foisonnent et ne sont pas avares en astuces. Beaucoup saluent la transformation radicale du look, l’effet “neuf” retrouvé et la facilité d’entretien. Quelques regrets pointent, surtout chez ceux qui s’attendaient à une tenue éternelle ou qui ont opté pour des films bas de gamme. D’autres n’hésitent pas à changer leur covering à chaque saison pour suivre la mode ou s’accorder aux couleurs de l’année ! Un propriétaire enthousiaste le résume ainsi :
« Depuis que j’ai posé un covering carbone sur mes rétros, on me demande tout le temps où j’ai acheté la voiture… »
- Opter pour la pose professionnelle permet d’obtenir la meilleure finition sans risque
- Les films mats ou carbone 3D résistent mieux aux micro-rayures
- Un bon entretien prolonge sensiblement la durée de vie du covering
- Attention à la compatibilité des couleurs avec la réglementation
- Prendre son temps pendant l’application garantit un rendu bluffant
Et si vos rétroviseurs lançaient la mode dans votre quartier ?
Finalement, métamorphoser ses rétroviseurs, c’est offrir à son véhicule la pincée de personnalité qui fait toute la différence, tout en s’offrant la tranquillité d’esprit d’une protection efficace. Que vous craquiez pour l’élégance d’un mat, le chic du chrome ou la vibration acidulée d’un coloré, rien ne vous empêche d’oser et de réinventer votre style au gré de vos envies ou des saisons. Et vous, avez-vous déjà songé à cette touche qui ne passe jamais inaperçue ?
